English below.
Meilleures versions du Sacre du printemps (1/3)
[2/3 FR] [3/3 FR] [2/3 EN] [3/3 EN]
Cf. aussi la récente version Zinman
Cf. autres discographies comparées
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Cf. aussi la récente version Zinman
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Pragadigitals vient d’éditer une compilation Stravinsky« Des fastes rymskiens à l’écriture sérielle », composée principalement d’enregistrements réalisés en Tchécoslovaquie :
On attirera d’abord l’attention sur L’Oiseau de feu (ballet intégral) – une version en public superbe, notamment pour son animation, son élégance, sa poésie magnifiée par les bois et vents de l’orchestre philharmonique tchèque : les timbres des instruments / instrumentistes, la superbe sonorité de la salle, l’organisation qu’y met le chef, tout concoure à une lecture très poétique . Le tout dans un son exceptionnellement bien restitué, mais on connaît le talent des ingénieurs tchèques utilisés par Pierre Barbier (cf. la fameuse réédition Mravinsky). Suit Václav Neumann dans une superbe Symphonie en ut qui, là aussi, bénéficie des qualités de l’orchestre tchèque. Les Noces par Zdenék Kosler manquent peut-être un peu de fermeté rythmique mais bénéficient d’un excellent chœur ; à noter la toute fin « messiaennique » mêlant cloche, les 4 pianos et crotales. La suite de L’Histoire du soldat est superbement donnée par les Boston symphony players avec le fameux Joseph Silverstein au violon. Les œuvres pour quatuor à cordes sont magistralement rendues par le quatuor de Tokyo, notamment la 3e pièce « Cantique » des Trois pièces pour quatuor. Enfin, une des premières sérielles de l’auteur, les Trois chansons de William Shakespeare pour voix, violon, flûte et clarinette, de 1953 montrent que l’auteur pouvait ‘faire du Stravinsky’, même avec la technique Schoenbergienne… Bref, un splendide panorama Stravinskien en SACD. |
A new Stravinsky collection at PragaDigitals « From Rymskian splendors to the serial writing » basically made of Czechoslovak recordings:
First a superb live reading of the Firebird (complete ballet) : lively, elegant, poetic, thanks to the Czech winds & brass. Superb rendering as always from the Czech engineers used by Pierre Barbier (cf. the famous Mravinsky release), bewitching. Then Václav Neumann in a superb Symphony in C with, again, the Czech philharmonic qualities. The Wedding by Zdenék Kosler maybe not the most motoric one, but we have here an excellent choir. The Soldier’s Tale suite is superbly done by the Boston symphony players with the famous violinist Joseph Silverstein. Magistral readings of the works for string quartet by the Tokyos, especially the 3rd piece « Cantique » from the Three pieces for string quartet. Finally, one of the first serial works by Stravinsky, the Three songs from William Shakespeare for voice, violin, flute and clarinet (1953) the author was able to produce some ‘Stravinsky’, even with Schoenberg’s technique… |