Je me rappelle il y a quelques années que mon fils Arthur voulait me « choquer » en me passant je ne sais quelle musique, et je lui répondis que vu ce que j’écoute habituellement, je ne risquais pas de l’être (et de lui passer du Yann Robin par exemple).
Là, il s’agit d’une de ses idoles : « il y a des passages presque aussi ‘zarbi’ que ce que tu écoutes souvent ».
La trame musicale est un peu ténue, mais il faut avouer que c’est bien « orchestré ». Voilà donc du « Rone », qui a l’air d’ailleurs bien sympathique.