La 17e édition du Festival de musique de chambre de Giverny touche à sa fin aujourd’hui. J’ai eu la chance d’assister à deux concerts vendredi et samedi dernier. Il faut espérer que, à l’instar du Festival de Prades, ce festival puisse continuer ces prochaines années : les deux proposent en effet des concerts de haut niveau et une académie pour les jeunes instrumentistes.
De plus, ils ne dédaignent pas la musique contemporaine : cette année Régis Campo était l’invité du Festival de Giverny, avec certaines de ses œuvres et une création : Open time pour bande, violon, violoncelle et clarinette. Les concerts ont été enregistrés et devraient être disponibles en ligne prochainement.
Ce fut à la fois un enchantement musical et, hors scène, une ambiance bien sympathique. Quelques photos-souvenir :
François Pineau-Benois, Flore Merlin et Michel Strauss – Directeur du festival – dans le Trio avec piano n°1 de Robert SchumannRégis Campo applaudit Lisa Strauss qui interprétait son « To be alive is Power »Michel Strauss, Aylen Pritchin et le grand violiste du quatuor Talich, Vladimir Bukac dans le trio à cordes op. 9 n°3 de BeethovenRépétition de OpenTime de Régis CampoAylen Pritchin, Jean-Claude Vanden Eyden, François-Pineau Benois, Antonin Le Faure et Lisa Strauss dans le quintette avec piano op. 44 de Robert SchumannLéo Marillier, Juliette Beauchamp, Kei Tojo et Clara Dietlin dans le Quatuor op. 13 de Félix MendelssohnCréation d’Open Time de Régis Campo avec Joseph Puglia, Flore Merlin, Clara Strauss et Arthur Stockel