Cette pièce de 1970 aura marqué les compositeurs, tels Philippe Manoury, qui, à la faveur des progrès techniques portera au plus haut point la « musique en temps réel ».

Inspiré d’un mélodie qui lui serait venu comme dans un rêve, Stockhausen fait montre d’un talent compositionnel exceptionnel dans ces sortes de Variations Goldberg de près d’une heure en 28 épisodes. L’intervention de l’électronique un peu rudimentaire de l’époque, et quelques borborygmes obligés intéressent moins que l’extraordinaire variété de traitement du matériau de départ. Excellents interprètes.

Ici la conclusion de l’œuvre : 
Last part:

This piece of 1970 will have marked the composers, such asPhilippe Manoury, who, to the favor of technical progress will carry at the highest point the “music in real time”.

Inspired by a melody which came to him as in a dream, Stockhausen shows of an exceptional composing talent in these kinds of Goldberg Variations of around one hour in 28 episodes. The intervention of electronics a little rudimentary at the time, and some obliged rumbles interest less than the extraordinary variety of treatment of the starting material. Excellent interpreters.