Cela fait des années que je voulais faire une discographie comparée de Ma patrie, par amour et de Kubelík et de la musique tchèque. J'ai commencé par la Moldau : plus de cent versions : il faut être fou... Kubelík (1984 et 1990) dépasse tout, mais il y a nombre d'excellentes versions, par exemple celle du chef peu connu Reinhard Seifried et sans doute la nouvelle star de la direction tchèque, Jakub Hrusa.