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Schumann – Piano concerto op. 54 – Discographie – Discography

Schumann – Piano concerto op. 54 – Discographie – Discography

Nous reprenons après une longue interruption nos « discographies » comparées avec mon frère Bernard Vagne (B) et mon beau-frère Karim Ouchikh (K), toutes sur des œuvres où l’on retrouve Kubelík, site Web oblige… « Discographies » entre guillemets, l’apparition de Qobuz permettant d’élargir nos discothèques déjà bien pourvues.

Une trentaine de versions étaient proposées pour le 1er mouvement, après un « écrémage » (B) de versions qui ne semblaient pas pertinentes – malgré l’aura de certaines – par exemple : Katchen/Kertesz, Peraya/Davis et une des pires, Argerich/Harnoncourt, avec en plus certaines raretés amenées par K. Malheureusement, mon classement erratique de CD de concerts ne m’a pas permis d’apporter Firkusny / Kubelik et Arrau / Kubelik à Cologne…

Les enseignements que l’on tire de cette – longue – confrontation sont que l’œuvre est merveilleuse, que l’interpréter correctement est décidément bien difficile et que les femmes s’en sortent bien : on a préféré dans l’ordre : Argerich / Rabinovitch, Arrau / Kubelik, [Annie] Fischer / Keilberth, Schnabel / Monteux et Pires / Abbado.

On a regretté d’avoir dû abandonner Cortot après le 2e mouvement, été abasourdis par l’audace d’Argerich dans le 1er, époustouflés par le piano d’Arrau, immense, et cela nous permet de rendre hommage à la très grande pianiste Annie Fischer, trop méconnue.

Résumé de la confrontation : 

Le début de la version Arrau / Kubelík / New York – 1968 :

We take again after a long interruption our compared listenings with my brother Bernard Vagne (B) and my brother-in-law Karim Ouchikh (K), all on works where one finds Kubelík, Web site obliges…

About thirty versions were proposed for the 1st movement, after some filtering (B) of versions which did not seem relevant – in spite of their fame – for example: Katchen/Kertesz, Peraya/Davis and one of the worst, Argerich/Harnoncourt. Unfortunately, my erratic CD classification of concerts did not enable me to bring Firkusny/Kubelik and Arrau/Kubelik in Köln…

The lesson which one draws from this – long – confrontation is that this work is marvelous, that to interpret it correctly is definitely quite difficult and that the feminine pianists are at ease with this work: we preferred in order: Argerich/Rabinovitch, Arrau/Kubelik, [Annie] Fischer/Keilberth, Schnabel/Monteux and Pires/Abbado.

We regretted having had to give up Cortot after the 2nd movement, astonished by the audacity of Argerich in the 1st, puzzled by the piano of Arrau, immense, and that enables us to pay homage to the great pianist Annie Fischer, too much ignored.

Resume: 

Beginning of Arrau / Kubelik / New York – 1968: